Le cyclone
Les merles sifflent sur les lointaines contrées
Distribuant les perles de l’humanité
Admirant tout ces jolis bleuets
Qui se marient si bien dans les prés
La nature s’envole soudainement
L’aura apparaît, si beau et si blanc
Attaché à ce bel arbre tant fleuri
Rien ne me résiste, ni l’orage ni l’ennui
Ce cyclone de mots qui me dévaste
Parlant avec l’esprit enthousiaste
Perdu dans ces nobles pensées
Que j’observe dans ce petit jardinet
Emprisonné dans ce corps défaillant
En feu chaque jour tel un volcan
Cette lave brûlante et invisible
En éruption soudaine et imprévisible